Au sein de l'association AAVAA, nous considérons qu'il est essentiel de soutenir les victimes d'accidents et d'agressions. Pourquoi ce soutien est si important?
En offrant une aide et un accompagnement appropriés, nous visons à aider les victimes à se reconstruire et à surmonter les conséquences traumatiques de ces événements. Découvrez pourquoi notre engagement envers les victimes demeure primordial en 2025.
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Un accompagnement humain et juridique
AAVAA soutient les victimes d’accidents et d’agressions en combinant écoute, expertise et sécurisation de l’indemnisation. Notre approche vise à réduire le risque de sous-évaluation des préjudices et à fluidifier chaque étape des démarches.
- Analyse du dossier et des responsabilités
- Évaluation médico-légale et consolidation
- Chiffrage selon les postes de préjudices
- Négociation contradictoire ou action en justice
Indemnisation du dommage corporel : principes clés
L’indemnisation des victimes repose sur l’évaluation des préjudices corporels, moraux et économiques. L’objectif : une réparation intégrale, sans perte ni profit, sur la base d’éléments probants.
Postes de préjudice (exemples)
- Déficit fonctionnel temporaire et permanent
- Souffrances endurées, préjudice esthétique
- Perte de gains professionnels actuels/futurs
- Frais divers (soins, aménagement, aide tierce personne)
Démarches après accident ou agression
- Consulter un médecin et conserver les justificatifs
- Déposer plainte (en cas d’agression) et signaler l’événement
- Déclarer le sinistre et rassembler les preuves
- Solliciter un accompagnement spécialisé pour chiffrer les préjudices
Pourquoi AAVAA s’engage
Nous agissons pour que chaque victime obtienne une indemnisation juste, à la hauteur des atteintes subies, dans le respect des délais et du contradictoire. Cet engagement s’inscrit dans une démarche d’exigence juridique et de protection des droits des victimes.
Ressources et liens utiles
Lorsque la victime se retrouve seule et vulnérable, elle est souvent contrainte de consulter le médecin-conseil de l'assureur, qui est choisi et rémunéré par ce dernier.
Après une longue période d'attente, l'assureur propose à la victime une indemnisation basée sur un rapport médical qui, dans bien des cas, n'est pas en sa faveur. De nombreux préjudices, tels que les besoins en assistance humaine, les pertes professionnelles, ainsi que les préjudices liés aux loisirs et à la vie intime, sont souvent minimisés ou tout simplement ignorés dans ce rapport.
La victime se trouve alors dans l'incapacité de comprendre les termes et le montant de l'indemnisation proposée. De plus, elle n'a souvent reçu qu'une très faible avance sur cette indemnisation, voire aucune. En fin de compte, la victime accepte une offre manifestement insuffisante.